Delphine Renault
Le wanderer, le repère et l’horizon
La présentation de la monographie se déroulera à la librairie du CCS en présence de l’artiste et de Karine Tissot, critique d’art et auteure.
La monographie sur Delphine Renault Le wanderer, le repère et l’horizon est éditée par aparté (association pour la promotion des artistes émergents). Cette association s’est donné pour but de favoriser la promotion d’artistes émergent.e.s au début de leur carrière, en les aidant à se faire connaître du public et à s’introduire sur le marché de l’art. Parrainé.e par une personnalité du monde de la culture, qui l’a sélectionné·e à l’occasion du Concours Picker, le·la lauréat·e voit son travail explicité et montré pour la première fois dans une monographie lancée à l’occasion d’une exposition. Karine Tissot et Delphine Renault participent ainsi au 8e concours lancé par l’association aparté. L’exposition de la lauréate s’est tenue à la galerie Wilde à Bâle en août dernier avec les 7 autres nominé.es.
La présentation de la monographie parue aux éditions aparté/les presses du réel, se déroulera à la librairie du CCS en présence de l’artiste et de Karine Tissot, critique d’art et auteure.
éléments biographiques
Delphine Renault (née en 1984 à Paris) vit et travaille entre Genève et Pantin (Paris). Diplômée des écoles des Beaux-arts de Lyon (DNAP en 2006) et de Rennes (DNSEP en 2008), elle s’installe à Genève en 2009 pour y suivre le Postgrade ALPes sur l’art dans l’espace public à la Haute Ecole d’Art et de Design. A Genève, elle a exposé au Centre d’art contemporain, à Halle Nord, à Hit, à Zabriskie Point, à la galerie Joy de Rouvre et au Palais de l’Athénée. Ses installations ont également été montrées au Centre d’art contemporain d’Yverdon-les-Bains, à Urgent Paradise à Lausanne, aux Moulins Rodynam à Orbe et à Indiana à Vevey. A Paris, elle a exposé au 104, à Villa Belleville, à Glassbox, chez Kit, à la Générale et dans les galeries Marine Veilleux et Vanessa Qhang. Son travail a également été exposé dans la crypte de l’espace Rostropovitch à Beauvais, dans les hortillonnages d’Amiens, à l’Abbaye d’Annecy-le-Vieux, au Magasin de Grenoble et à la galerie Gourvennec Ogor à Marseille. Elle a participé aux résidences Matza dans le désert du Mojave (USA) et sur le glacier d’Aletsch (CH). Ses réalisations pérennes « Lieu-dit », « Zig-zag » et « Paravent » sont à parcourir à la Haute Ecole d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (HEIG-VD) à Yverdon-les-Bains et sur le lac des Vernes à Meyrin (CH).
Karine Tissot est historienne de l’art, licenciée ès lettres de l’Université de Genève. En 2020, elle a restructuré le projet culturel du CHUV (Centre hospitalier universitaire vaudois) – Lausanne, désormais connu sous le nom de VU.CH. Auparavant, elle a dirigé durant 7 ans le Centre d’art contemporain d’Yverdon-les-Bains (CACY) qu’elle a mis sur pied en 2013 et avant encore a travaillé de nombreuses années à Genève, au Musée d’art et d’histoire, puis au Musée d’art moderne et contemporain (Mamco). Parallè- lement à ses engagements institutionnels, elle a toujours exercé d’autres activités comme l’enseignement d’histoire de l’art ou la critique d’art, et s’est engagée dans diverses associations. Elle a monté de nombreuses expositions – dont la programmation de la scène contemporaine suisse de la foire Art Paris Art Fair 2018 au Grand Palais à Paris –, contribué à plusieurs publications et édité notamment ces ouvrages : Artistes à Genève, de 1400 à nos jours (2010) ; Les Objets de l’art contemporain (2011) ; Trait Papier, un essai sur le dessin contemporain (2012) ; Hadrien Dussoix (2014) ; Hotel Ausland (2014) ; Franziska Furter (2017) ; Les Chroniques de l’art contemporain (2018) ; Marie Velardi (2019) ; Renée Levi (2019) ; « Ecouter un film » – Gabriela Löffel (2020).