Rencontrer Cécile Laporte, écologiste, porno-activiste, porte-parole de mouvements squat en France ou défenseuse des droits des migrants a changé la vie de Marion Duval. « Je me suis immédiatement sentie chez moi auprès de Cécile.
Offrant des possibilités narratives inédites et des constructions visuelles originales, le livre a toujours été l’un des supports privilégiés des photographes. L’exposition présente une sélection d’une vingtaine d’ouvrages…
Lectures, rencontres, performances, concerts, dédicaces : pendant deux jours le CCS fête la rentrée littéraire suisse sous toutes ses formes. Ces deux journées marquent le lancement d’un nouveau rendez-vous biannuel consacré à l’actualité littéraire suisse…
Conférence du bureau Rahbaran Hürzeler Architects, basé à Bâle, fondé par Shadi Rahbaran et Ursula Hürzeler. Leurs travaux se situent à diverses échelles : depuis des plans d’urbanisme, des projets d’architecture, jusqu’à des expositions et même des objets. En tant que chercheuses…
“La Suisse est un pays d’immigration et ses habitant.e.s (y compris les artistes !) en sont le reflet… Les femmes invitées puisent dans leurs influences et leurs techniques loin à la ronde, reflétant des traditions héritées de parents ayant oeuvré ou voyagé sous d’autres cieux…
Dans un solo pour son propre corps, Ruth Childs suit les indices laissés par les gestes qui surgissent quand la musique de Beethoven, Tchaïkovski ou Dvorak surgit dans son studio de répétition. Une fois sur scène la musique pourrait disparaître mais les souvenirs persistent.
Discussions autour d’un projet de Daphné Bengoa (cinéaste) et Leo Fabrizio (photographe) sur l’oeuvre algérienne de l’architecte français Fernand Pouillon (1912 – 1986), qui a fait l’objet d’une exposition présentée aux Rencontres d’Arles 2019, d’un ouvrage paru aux éditions Macula et d’un film…
Un programme de discussions et de performances imaginé par Nadine Wietlisbach, directrice du Fotomuseum Winterthur, autour de la photographie digitalisée, de son accès par le jeu, l’interaction, la médiation et des possibles discursifs et curatoriaux induits.
Le trio Vein s’approprie le temps d’une soirée la scène du CCS pour présenter son dernier album Symphonic Bop. D’inspiration classique, les compositions originales écrites par le pianiste Michael Arbenz…
La librairie du CCS présente les Plus beaux livres suisses 2018 (primés en 2019). Organisé par l’Office fédéral de la culture, le concours distingue des réalisations significatives dans la production et l’art du livre. 19 ouvrages ont été récompensés, dont An Ideal for Living…
À l’occasion de l’exposition de Mélodie Mousset L’ épluchée , le symposium Where bodies meet se penche sur l’utilisation dans l’art des mondes virtuels des jeux d’écran et sur le rôle des corps au sein de cette constellation.
Rosmarie Tissi (* 1937, Thayngen, Suisse) est reconnue internationalement pour ses affiches, logos, identités graphiques et billets de banque, qu’elle a principalement développés en tant qu’associée de Siegfried Odermatt au sein de leur bureau O & T.
De 17h à 19h, dans la librairie et la cour du CCS. Lancement de la monographie de Cathy Josefowitz par Mousse Publishing : présentation à 17h à la librairie avec les autrices Elise Lammer, Rebecca Lamarche-Vadel et Francesco Tenaglia, rédacteur en chef de Mousse Magazine, et dès 18h…
Le Centre culturel suisse s’associe à l’ECAL, la Fémis et au Festival Cinéma du Réel pour encourager la relève du cinéma documentaire suisse. Pour ce premier rendez-vous : rencontre avec Blaise Harrison.
En 2099, âgé de 121 ans, le cerveau particulièrement bien conservé grâce à la médecine régénérative, un certain Joël Maillard grave ses souvenirs (ou alors sa dernière pièce) sur un morceau de plastique (son assistant robotique n’ayant pas trouvé de papier). Des siècles plus tard…
Dans la monographie Villa Nix , Nives Widauer emprunte une approche architecturale pour naviguer à travers sa pratique. Différents « espaces » comme les archives, l’atrium, la grotte, le jardin hortus conclusus ou l’antichambre sont habités et meublés par les oeuvres…
Utilisant des images d’archive, le film Ever Since We Crawled Out montre un abattage d’arbres qui se poursuit à l’infini. Ils tombent, l’un après l’autre, suspendus à l’instant paroxysmique qui précède le moment où ils vont succomber à la gravité et s’écraser au sol.
Le CCS présente pour la première fois en France l’ensemble des oeuvres de Mats Staub, artiste hybride, collectionneur de visages et voyageur dans les mémoires individuelles. Depuis dix ans…
«Quels décès et quelles naissances ont influencé et changé ma vie jusqu’à présent ? Qui ai-je accueilli, qui ai-je perdu et à qui ai-je dit adieu ?». Le CCS présente pour la première fois en France Death & Birth in my Life de Mats Staub, artiste hybride…
Avec une démarche expérimentale le batteur et percussionniste Julian Sartorius élabore des rythmiques issues d’un mélange entre le hip-hop et la musique électronique abstraite. Déjà produit à Paris aux côtés d’artistes comme Rhys Chatham…
Bianca Pedrina présente son livre Pompei, Pompeii paru aux éditions Mark Pezinger à la librairie du CCS. L’auteure inspecte soigneusement la relation entre la forme et la fonction d’un projet d’accessibilité récemment mis en œuvre à Pompéi.
La librairie accueille le lancement de Raddar, une revue annuelle de Design co-éditée par le mudac et T&P Work Unit. Bilingue français-anglais, Raddar permet à des chercheurs, jeunes ou confirmés, de s’exprimer sur des thématiques intéressant la théorie du design.
Lena Maria Thüring a passé vingt-sept jours sur un cargo. Durant le voyage de New York à Bremerhaven, elle a filmé les membres de l’équipage s’adonnant à un karaoké de chansons d’amour nostalgiques.
Mathieu Amalric lit Au revoir, de l’écrivain, scénariste et dramaturge Antoine Jaccoud. Un homme raconte comment il vient de prendre congé de ses deux fils partis pour Mars et les raisons qui ont poussé ces jeunes gens à émigrer vers cette nouvelle colonie.
En 1877, Alfred Von Rodt, un jeune aristocrate bernois et ancien mercenaire, devient le gouverneur d’une minuscule île chilienne, celle-là même qui inspira l’histoire de Robinson Crusoé. Vingt-huit années durant…
Constance Delamadeleine, dans le cadre de sa thèse de doctorat (Université de Lausanne, ZHdK-Zurich, HEAD-Genève), analyse la construction de la réputation des graphistes suisses basés à Paris (1945 – 1970) et leur rôle dans le rayonnement culturel de la Suisse.
Dans son nouvel album Fugato, la violoncelliste Estelle Revaz, résidente à la Cité internationale des arts en 2019, mêle son interprétation vive et profonde à celle, incisive, du pianiste François Killian, en forme d’hommage sonore au romantisme allemand.
L’association lausannoise Thelonica convie le bassiste Marcello Giuliani (Prix suisse de musique 2018) et le batteur Arthur Hnatek à performer sur scène avec d’autres invités le temps d’une soirée. Les deux rythmiciens ont développé leur compérage au sein du coloré quartet Erik Truffaz…
Comment se faufiler entre les vertigineuses strates historiques et culturelles que forment les traces laissées par l’humanité pendant ces derniers milliers d’années ? Comment, par l’art, raviver des objets et symboles oubliés et les faire résonner avec le présent ?
Des orties et ipomées — semences ramassées et pousses déterrées à Paris — sont transplantées dans la cour intérieure dès le mois de mars, et donnent naissance à l’installation “Ipomoea baignoirensis”.
Réalisés en stop motion dans une esthétique bricolée, douze courts-métrages en noir et blanc mettent en scène une multitude de personnages incarnés par le performer Martin Zimmermann. Le plus maléfique d’entre eux, Mr. Skeleton…
Augustin Rebetez & Martin Zimmermann
The Adventures of Mr. Skeleton
Exposition
22 juin – 14 juil
2019
Première édition d’une nouvelle série annuelle qui porte sur un aspect de la mode, du design ou du graphisme actuel suisse à la librairie du CCS, Wearable / Unwearable Art présente une sélection d’objets, vêtements, pièces uniques ou éditions plus ou moins portables…
Mathieu Amalric lit “Au revoir”, texte inédit de l’écrivain, scénariste et dramaturge Antoine Jaccoud. Un homme raconte comment il vient de prendre congé de ses deux fils partis pour Mars, et les raisons qui ont poussé ces jeunes gens à émigrer vers cette nouvelle colonie.
Temps fort et resserré à l’intérieur du Focus de la saison dédié aux auteur.e.s dramatiques suisses. Le texte, par la prise de parole, revient sur le devant de la scène comme une nécessité pour décrire les dérives de nos sociétés contemporaines, pour les analyser…
Nives Widauer est particulièrement fascinée par la relation entre l’espace et l’existence humaine sur terre, par la gravitation et la particule élémentaire hypothétique du graviton. Elle rassemble autour d’une (gravi) table ronde des experts de différentes disciplines (artiste, danseur…
« Dans “The Colours you see”, j’ai voulu mettre en lumière une vision personnelle des couleurs. Celles-ci sont très intrigantes pour moi, depuis que l’on a découvert lorsque j’avais quatre ans que j’étais daltonien.
Les marionnettes brutes et sensibles de Cécile Chevalier & Franck Fedele de la compagnie Tête dans le sac, pleines d’audace et manifestement ingénues, sont déterminées à se tailler un chemin à la machette à travers 526 ans de colonisation de l’Amérique latine …
Dans “Muralnomad. Le paradoxe de l’image murale en Europe” (1927–1957) (ed. Macula, 2018) Romy Golan étudie les grandes oeuvres murales de l’entre-deux-guerres et de l’immédiat après-guerre en France, en Italie, en Suisse, en Espagne et en Allemagne, et notamment celles du Corbusier.
L’image murale en Europe
Rencontre avec Martin Chramosta, Jean-Louis Cohen et Romy Golan
Parole
20 mai
2019
Maya Bösch présente à Théâtre Ouvert une mise en espace de sa future création autour de “Pièces de guerre en Suisse”, oeuvre colossale et inédite de l’auteure suisse Antoinette Rychner, librement inspirée de la trilogie d’Edward Bond, “War Plays” éditée en 1985.
Cette exposition, la première d’ordre institutionnel consacrée à Doris Stauffer (1934–2017), veut présenter les nombreuses facettes de son oeuvre − militante, féministe, poétique, plastique.
Arthur Henry avait marqué les esprits lors de la dernière carte blanche donnée à la Montreux Jazz Artists Fondation au CCS.
Les artistes de Trickster-p construisent des mondes étranges à partir d’objets réinventés ou détournés et proposent au public une expérience individuelle et sensible de l’espace et du son.
Le travail de Lauren Huret repose sur la notion de secret, sur un quelque chose à découvrir. Ces dernières années, elle s’est intéressée aux croyances, mythes, idées et fantasmes qui naissent dans les zones d’ombre que projette l’amoncellement de nouvelles technologies.
Avez-vous vraiment lu Simone de Beauvoir ? Et Paulette Nardal, vous la connaissez ? Catherine Colomb, ça vous dit quelque chose ? En écho aux interrogations de Virginia Woolf, Julie Gilbert se demande pourquoi les femmes auteures, les penseuses ne font pas plus partie de notre corpus.
“Je suis père de trois enfants en pleine santé. Lors de chaque grossesse, la mère et moi, nous nous sommes posé la même question : ’Et si notre enfant n’est pas normal, qu’est-ce qu’on fait ?’ Malgré une crainte sourde, c’est une question à laquelle nous n’avons jamais trouvé de réponse.
Danseur et chorégraphe, interprète notamment de Merce Cunningham, il est aussi l’enfant terrible de la danse contemporaine suisse. Il a inventé une activité hybride mariant la danse et la marche : la dancewalk.
“Samedi soir pour clôturer la semaine, passez la porte du CCS et prenez place à table. Vous êtes conviés à un banquet. Un cuisinier rare spécialement dépêché depuis la Suisse, Cyril Vandenbeusch, a concocté un repas. Vous êtes conviés peut-être comme hôte ou comme négociateurs ou comme auditeurs.
Une nuit, dans un motel pourri d’Atlantic City. Nina et Nico se font face. Nina est blanche. Sa mère l’a appelée comme ça à cause de Nina Simone. Ce prénom est un héritage, presque une injonction. Nina Simone. Un fantôme qui hante sa vie, une figure violente et bouleversante qui cette nuit-là…
Présentation et lecture du livre À l’ombre des arbres de Montagnola, L’Univers végétal d’Herman Hesse de Romain Arazm, à la librairie le vendredi 12 avril. À la croisée des chemins, entre littérature, philosophie, théologie et histoire de l’art…
Habitué à se produire sur la scène du CCS, l’intense Tobias Preisig est de retour à Paris. En duo avec son synthétiseur analogique, il pousse encore plus loin les limites de son violon et nous entraîne dans un voyage ensorcelant.
Basé à Genève et fondé en 2011, le collectif AMI est aujourd’hui composé de Adeline Senn et Martin Maeder. Ils collaborent essentiellement avec des institutions culturelles ou publiques et des associations.
Des abeilles et des hommes dessine un portrait d’une précision vertigineuse de l’abeille, à l’heure de sa disparition.
Le réalisateur suisse Markus Imhoof présente en avant-première française son tout dernier film Eldorado , présenté à la Berlinale en 2018. La projection est suivie d’une discussion Quel avenir pour les migrants dans l’Europe de demain? avec Markus Imhoof, Eric Pliez et Hélène Agbémégnah.
Une soirée autour de l’idée de l’amitié comme moyen de transmission (dans toute son ambiguïté). Une incarnation de « l’amitié politique » en lisant et en discutant, en réfléchissant et en créant, à travers des rencontres et des liens. Cet événement fait suite au projet Body of Us…
La Collection de l’Art Brut à Lausanne et sa directrice Sarah Lombardi ouvrent une nouvelle série d’invitations à des institutions suisses pour une carte blanche. Trois soirées sont consacrées aux enjeux actuels liés à ce champ spécifique de l’Art…
La définition de la culture s’est établie avec le travail de la terre et marque un jalon important dans l’histoire des relations des humains avec la nature. Face à la dégradation de la biodiversité, à la privatisation des grains, à la pollution et au changement climatique…
Construire avec de la terre a été pratiqué de diverses manières au cours des derniers millénaires : l’argile est disponible presque partout dans le monde et peut être traitée sans utiliser d’outils ou de machines. Avec les changements globaux du siècle dernier…
Baptiste Gaillard présente et lit des extraits de son nouvel ouvrage Bonsaï paru aux éditions Hippocampe, à la librairie mercredi 06 mars. L’écriture peut se concevoir comme un ensemble en expansion, grandissant en son centre par associations, fonctionnant selon une logique de déploiement…
Pour le troisième mercredi du Jazz de l’année, le CCS invite le jeune et talentueux drummer Nicolas Stocker. Il livre en exclusivité son premier opus SOLO, concocté lors d’une résidence à Berlin.
Pour sa première exposition personnelle en France, l’artiste suisse et brésilien Pedro Wirz imagine une installation immersive, placée dans une réalité dont la temporalité est difficile à cerner. Sommes-nous plongés dans une histoire archaïque où nous témoignons de l’évolution de la vie sur terre ?
• Dans un entre-deux flottant trop rose et trop pailleté • Deux adolescent(e)s et un musicien naviguent à vue • L’adolescence est un grand chantier construit sur des incertitudes dans lesquelles il est possible de se perdre avec joie.
Augustin Rebetez et Martin Zimmermann invite Kania Tieffer à jouer parmi les projections de la vie de Mr. Skeleton, invention géniale de Martin Zimmermann et Augustin Rebetez créée à l’occasion du Festival Images Vevey.
Antoine Jaccoud, Tijs Goldschmidt et Arno Camenisch débattent des rapports entre l’écrivain et la bête. Modération : Jean-Philippe Rossignol
Antoine Jaccoud, Tijs Goldschmidt, Arno Camenisch
Les hommes et les bêtes, l’expérience de l’altérité
Parole
19 févr
2019
Le documentaire The Cleaners est une plongée dans l’industrie digitale parallèle aux Philippines, où des milliers de « content managers » nettoient Internet de tout ce qui ne doit pas être vu.
Pour cette deuxième semaine consacrée au cirque contemporain suisse, le CCS présente deux soli. Ces petites formes créent une proximité particulière entre le circassien et le spectateur, touchant ensemble au risque, aux sens, à la performance et à la poésie.
Le CCS présente deux spectacles de Mélissa Von Vépy : Noir M1 au CENTQUATRE et L’Aérien au CCS. Une volonté de mettre en lumière le travail de cette artiste, déjà remarquée dans les spectacles, entre autres, de Martin Zimmermann et de Guy Alloucherie.
Albertine au dessin et Germano Zullo à l’écriture forment un duo très prolifique. Ils parlent de leur collaboration et de la place qu’occupe chacun des deux dans leur travail commun.
Le jeune metteur en scène valaisan Stefan Hort convoque sur scène la force et la prouesse technique du circassien Jonathan Fortin et les sons lunaires et virtuoses du trompettiste Yannick Barman.
Deux personnes, une planche de 122 × 244 cm, du bois, en 300 petits morceaux. Dans cette performance, deux artistes étudient la métamorphose d’un matériau, qu’ils envisagent comme une métaphore de leur relation. Ils explorent la notion d’équilibre avec des objets et sur des objets…
Pour ce deuxième rendez-vous Jazz, le trompettiste Yannick Barman propose une immersion sensuelle inspirée des images étranges et inquiétantes du film culte Stalker d’Andrei Tarkovsky.
Pour marquer la première participation du CCS au festival Faits d’hiver, il fallait frapper fort : deux soli, aussi puissants l’un que l’autre. Saisie par des tremblements profonds qui agitent son corps et son esprit, Laurence Yadi capte et éblouit par sa performance. En deuxième partie de soirée…
Laurence Yadi & Nicolas Cantillon / Edouard Hue
Dans le cadre du festival Faits d’hiver
Scène
29 – 31 janv
2019
Une exclusivité pour ce premier rendez-vous Jazz au CCS : la découverte, quelques jours avant sa sortie de l’album Aksham, composé par un quintet inédit franco-helvéticoalbanais.
La Bâronne de Paname réveille le swing rétrofuturiste de The Street Lemon. Échappant à toute classification, les inventeurs du « bricoswing » distillent des compositions festives et existentielles portées par une voix enchanteresse. Un mélange de swing, de rock and roll, de polka-musette…